Les étapes principales du procédé de fabrication du C.G.F. sont identiques de par le monde. Toutefois, il peut y avoir certaines petites variations d’un producteur à l’autre car le procédé n'est pas uniformisé et il n'existe aucune norme à ce jour. Il est donc presque impossible d’établir une analyse comparative des données exactes sur le pourcentage de chaque composant.
L’étape décisive consiste à dissoudre le plus grand nombre possible de composants solubles de la Chlorella en les chauffant avec précaution un court instant et en les soumettant à des forces centrifuges puissantes. Seule une telle combinaison de forces physiques permet d’extraire les précieux composants d’ADN et d’ARN du noyau solide de la Chlorella.
Les différentes étapes du procédé :
Les restes issus de ce procédé d’extraction possèdent encore une certaine valeur nutritive. Par conséquent, au lieu d’être détruits, ils sont donnés comme nourriture aux animaux ou mélangés à leurs aliments.
Le CGF produit des réactions alcalines. Ils est composé principalement de protéines et d’hydrates de carbone et d’acides nucléiques.
L’eau chaude jouant un rôle essentiel dans la séparation des composants précieux de la Chlorella, l’extrait est fréquemment appelé „hot water extract“ dans la littérature scientifique.
Avant la lyophilisation, le CGF est un liquide clair à légèrement opaque (qu’on appelle le liquide CGF) dont la couleur et le goût rappele un bouillon. Une fois entamé, le liquide CGF ne se conserve pas longtemps. C’est pourquoi je préfère l’extrait sous forme de capsules (en raison aussi du dosage plus facile de la poudre). De plus, la poudre se dissout rapidement dans l’eau. Elle peut donc facilement être incorporée dans les plats liquides, augmentant leur valeur nutritive de manière extraordinaire.